Bienvenue dans cette seizième édition du Carnet de Jeanne ✨ !
Vous êtes plus de 1430 à recevoir cette lettre ce matin, alors que vous me suiviez depuis le début ou que vous veniez de me rejoindre… Mille mercis à vous tous !
Et j’ai hâte de vous retrouver aujourd’hui à 12h30 pour la grande masterclass gratuite sur le thème “comment se lancer sur LinkedIn en 2025”.
Mais en attendant, comme tous les mercredis, me revoici avec une nouvelle édition du Carnet !
J’espère qu’elle vous plaira 🧡
Sans plus attendre, on passe au thème du jour :
L’inaction.
Parce qu’on en est tous victimes : une idée nous traverse l’esprit, un projet qu’on rêve de lancer, un post à écrire, ou un email qu’on devrait envoyer. Mais d’un coup, le doute s’installe :
“Est-ce vraiment le bon moment ? Et si je faisais une erreur ? Et si ça ne fonctionnait pas ?”
Alors, on attend. Juste un peu, pour réfléchir, être sûr, ne pas “faire de faux pas”. Mais les jours passent, et l’idée reste là, immobile. Cette situation porte un nom : c’est le piège de l’inaction.
Elle se déguise en prudence et vous déconseille “d’aller trop vite”, mais en réalité, elle vous éloigne de vos objectifs. Et, sans que vous le réalisiez, elle finit par vous coûter bien plus cher que vous ne l’auriez imaginé : des opportunités manquées, des idées qui restent au fond d’un tiroir, et un arrière-goût amer de voir les autres avancer pendant que vous restez figé.
Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il existe un moyen de sortir de ce piège.
Alors dans cette édition, je vais vous montrer pourquoi l’inaction vous freine au lieu de vous protéger, et je vais vous donner des clés simples pour sortir de ce piège et transformer vos ambitions en actions concrètes.
Au programme :
1 - Le coût caché de l’inaction
2 - Le mythe du “moment parfait”
3 - Le coût de l’inaction sur LinkedIn
4 - Ne laissez pas les autres prendre de l’avance
Vous êtes prêts ? Alors allons-y !
1. Le coût caché de l’inaction
L’inaction est traître, parce qu’elle nous donne un faux sentiment de sécurité. C’est un peu comme rester immobile sur un quai de gare en regardant les trains passer, sans jamais monter dedans. On se dit : “si je ne bouge pas, je ne risque pas de faire d’accident, non ? Et je ne risque pas non plus de tomber malade à l’étranger, n’est-ce pas ?”.
C’est sûr : celui qui ne fait rien ne court aucun risque. Mais il se ferme aussi des dizaines de portes chaque jour : celle d’une rencontre, la signature d’un nouveau client, ou même d’une nouvelle idée pour développer son business. Parce que oui, l’inaction a un coût. Et ce coût est bien plus grand qu’il n’y paraît. Avec le temps, j’ai remarqué que l’inaction nous coûte 3 choses en priorité :
🔶 Les opportunités perdues
Je parle d’un partenariat qui aurait pu se concrétiser si vous aviez osé envoyer ce message sur LinkedIn. De ce client qui aurait pu vous découvrir si vous aviez publié ce post. Ou encore de ces idées que vous n’avez pas testées, parce que… “pas maintenant, je ne suis pas prêt.”
🔶 Le doute
Parce que oui, rester immobile, c’est douter. À force d’anticiper tous les cas de figures dans lesquels on pourrait échouer, ou de travailler son produit pour qu’il soit “parfait”, on se focalise de plus en plus sur le négatif, c'est-à-dire sur ce qui pourrait mal tourner. Et on en oublie tous les aspects positifs : les clients déjà contents, les abonnés qui vous font déjà confiance, et les compétences que vous avez développées.
En fait, le doute se matérialise avec des “et si…?” : “Et si je me trompe ? Et si je n’étais pas à la hauteur ?”. Plus vous attendez, et plus ces “et si” deviennent lourds… Jusqu’à vous paralyser.
🔶 Votre progression
“Inaction” rime avec “stagnation”. En ne publiant pas vos posts, en n’envoyant pas de messages de prospection ou en n’écrivant pas votre E-book, vous vous privez de la chose la plus précieuse pour tout entrepreneur : la connaissance de son marché. Les besoins de vos clients évoluent, tout comme ce que propose la concurrence. En fait, chaque entrepreneur doit se confronter à son marché régulièrement pour mieux le connaître… Et évoluer avec lui.
Et cela passe toujours par des petites actions, presque invisibles, répétées avec constance, mais qui vous permettent de recueillir des avis et des idées. Est-ce que vous ferez quelques erreurs en chemin ? Oui. Mais est-ce que dans quelques mois, vous serez en mesure de mieux délivrer vos clients parce que vous aurez progressé ? Évidemment.
En fait, le coût de l’inaction est triple et exponentiel. Moins vous agissez, plus vous perdez d’opportunités, plus vous doutez, et moins vous progressez. Et c’est un cercle vicieux dont il est difficile de sortir une fois enclenché : j’en sais quelque chose. Alors qu’il existe un antidote très simple à ce poison, que j’appelle la “méthode des petits pas” (j’en parlais dans l’édition de la semaine dernière).
Et pour commencer, il n’existe pas de “moment parfait”.
2. Le mythe du “moment parfait”
“Je ferai ça quand je serai prêt.”
“Ce n’est pas encore le bon moment.”
“Je vais attendre que…”
Moi aussi, j'ai déjà prononcé ces phrases, et je le reconnais volontiers : elles sont rassurantes. En les prononçant, on a l’impression qu’il existe un moment où toutes les planètes seront alignées. Et qu’à ce moment-là, il nous suffira de suivre le “plan parfait” qu’on prépare depuis des mois pour que tout réussisse. Et on repousse le moment de passer à l’action en se disant “il ne me manque plus que ça, après ça va marcher !”. Sauf qu’en réalité, ça ne se passe jamais comme ça.
Je ne suis pas fan de boxe, mais je suis tombée récemment sur une citation du boxeur Mike Tyson qui résume bien la réalité :
“Everyone has a plan until they get punched in the mouth”.
Autrement dit : “tout le monde a un plan jusqu’à ce qu’il se prenne un coup de poing dans la figure”.
Et c’est exactement ça : aucun plan, aussi “parfait” soit-il, ne résiste à l’épreuve du réel. Parce que la réalité finit toujours par vous confronter à l’imprévu. Donc non, il n’y a pas de conditions idéales pour se lancer sur LinkedIn : il y a ceux qui publient et ceux qui restent dans l’ombre. Tout comme il n’y a pas de bon moment pour prospecter ou aller parler à des partenaires potentiels : il y a ceux qui passent à l’action, et ceux qui ne le font pas.
La vérité, c’est que les plus grandes réussites ne commencent jamais dans des conditions idéales. Et j’en reviens aux exemples que je citais dans l’édition du Carnet de la semaine dernière : Amazon n’a pas démarré avec des bureaux en marbre et une armée de développeurs, mais dans un garage (tout comme Apple d’ailleurs). Walt Disney n’a pas attendu d’avoir un studio de cinéma pour animer son premier court-métrage. En fait, ces personnes ont agi parce qu’elles savaient que ne rien faire leur coûterait encore plus cher.
Attendre le moment parfait, c’est se condamner à ne jamais commencer. C’est se dire que l’élan viendra tout seul “le moment venu”, alors qu’en réalité, c’est bien l’action qui crée l’élan. Publier un post imparfait, envoyer un mail à un client potentiel, démarrer une conversation : ces premiers pas, même maladroits, même minuscules, sont ceux qui brisent l’inertie et mettent la machine en route. Et le meilleur exemple de cela, c’est mon réseau social préféré : LinkedIn.
3. Le coût de l’inaction sur LinkedIn
Ne pas être sur LinkedIn aujourd’hui, c’est comme manquer un train en pleine accélération. Ce n’est plus seulement un réseau social, c’est devenu une plateforme incontournable pour quiconque veut exister professionnellement.
Que ce soit pour :
Trouver des clients,
Donner de la visibilité à votre activité,
Ou asseoir votre crédibilité dans votre domaine
LinkedIn est devenu un passage obligé.
Et les chiffres le confirment : en 2024, LinkedIn comptait 31 millions d’utilisateurs en France et 1 milliard dans le monde. Mieux encore, son chiffre d’affaires a doublé entre 2020 et 2024, passant de 8 à 16 milliards de dollars. En clair : de plus en plus de personnes y sont, et de plus en plus d’affaires s’y font.
Mais malgré ces chiffres, il m’arrive encore de rencontrer des dirigeants ou des freelances qui pensent qu’ils “ont le temps pour se lancer”, que leur secteur est différent, ou même que LinkedIn n’est pas fait pour eux.
Et bien sûr, tout cela est faux. À l’heure où 1 français sur 2 a un compte LinkedIn, tous les secteurs sont représentés sur la plateforme. Et chaque jour où vous restez silencieux, vos concurrents avancent. Ils postent, se connectent, partagent leurs idées… et attirent l’attention des clients ou partenaires que peut-être vous aimeriez avoir.
Parce que LinkedIn, ce n’est pas juste publier des posts. C’est construire votre image, votre réputation, et votre place sur un marché qui évolue chaque jour. Et en 2025, cette tendance va s’accélérer, comme nous le montrent les chiffres de LinkedIn. Ceux qui prennent de l’avance maintenant seront les références de demain, et éclipseront ceux qui ne prennent pas la peine de faire connaître leur entreprise.
4. Ne laissez pas les autres prendre de l’avance
L’inaction n’est pas juste une question de temps perdu. C’est un espace laissé vide, que d’autres vont remplir. Sur LinkedIn, chaque post que vous ne publiez pas, chaque connexion que vous ne faites pas, chaque message que vous n’envoyez pas sont autant d’opportunités pour quelqu’un d’autre de prendre votre place.
Mais oui, se lancer, c’est effrayant. On a peur de ne pas savoir quoi dire, peur de mal faire, peur de ne pas être à la hauteur. Et pourtant, la plupart de ces peurs disparaissent quand on a les bonnes clés pour démarrer (je le vois avec mes clients). Et en ce qui concerne LinkedIn, le succès n’est pas une question de perfection, mais de présence. Et être présent commence toujours par un premier pas.
Ce premier pas, nous pouvons le faire ensemble ce mercredi 8 janvier à 12h30, lors de la masterclass gratuite que je donne sur le thème :
« Les clés pour se lancer (et réussir) sur LinkedIn en 2025 ».
En 30 minutes, vous allez comprendre :
🔶 La raison N°1 pour laquelle il est difficile de se lancer sur LinkedIn (et qui fait qu’il y a peu de créateurs de contenu qui sortent du lot)
🔶 Les 3 pièges dans lesquels tombent 98% des créateurs de contenu quand ils démarrent (et comment les éviter pour gagner du temps)
🔶 Et enfin, je vous donnerai mon plan d’action étape par étape et simple à suivre pour savoir comment vous lancer sur LinkedIn - même si vous débutez.
Vous avez juste à vous inscrire en cliquant sur le bouton ci-dessous pour réserver votre place :
Attendre ou avancer ?
Voilà, on arrive à la fin de cette édition. Et je terminerai en insistant sur la chose suivante : L’inaction nous donne un faux sentiment de sécurité en nous faisant penser qu’on “évite les risques”. Mais la vérité, c’est que l’inaction coûte toujours plus cher qu’on ne le pense. Des opportunités manquées, une progression qui s’essouffle, et parfois, ce sentiment amer de voir les autres avancer pendant que vous faites du sur place.
Mais nous sommes le 8 janvier, et il est encore temps de prendre les bonnes décisions pour l’année à venir. Je dis “décision” et pas “résolution” à dessein, puisque les résolutions ne sont souvent que des déclarations d’intention non suivies d’action. Et que si vous ne deviez retenir qu’une seule chose de cette édition, c’est que ne rien faire vous coûte bien plus cher que commettre quelques erreurs en passant à l’action. Alors aujourd’hui, je vous invite à laisser derrière vous les doutes, les hésitations, et à faire votre premier pas dès maintenant dans la direction de vos objectifs. Parce qu’au final, ce qui compte, ce n’est pas d’être prêt. C’est d’agir.
Voilà, c’est tout pour aujourd’hui.
J’espère vous retrouver nombreux à 12h30 pour le live !
Et pour ceux d’entre vous qui ne le verront pas (pour le moment aucun replay n’est prévu), à la semaine prochaine, même jour, même heure !
Jeanne ✨
PS : De mon côté tout va bien. Je travaille à fond en ce début d’année, notamment pour préparer la Masterclass de ce midi. Vous êtes +410 inscrits pour y participer, c’est FOU !
Mince, j’arrive trop tard 🥲
Intéressante votre approche sur le prix de l'inaction.